
J’ai toujours beaucoup de plaisir à reprendre la série Assasynth. On ouvre un nouveau tome comme on commence un nouveau chapitre. On attaque le roman quelques jours après Schémas artificiels. AssaSynth décide de continuer son enquête pour en savoir sur lui-même et son entreprise qui l’employait avant.
Il voulait la jouer discretos, mais pas de peau, il se fait rôder et il va devoir jouer les sec-unit pour le compte du bot de compagnie Miki et sa petite troupe d’humains.
J’en rajoute un peu mais le ton est vraiment ce qui donne le charme à la série. On est dans sa tête avec ses gros problèmes comme ses petits tracas. On s’amuse de son sarcasme dès qu’il s’agit d’être au contact d’autres que lui et on virevolte quand l’action commence.
Le roman est peut-être un peu moins audacieux que les deux précédents mais par contre, c’est toujours autant de plaisir à lire ces petits romans.